FORMATION   Ψ   RECHERCHE   Ψ   ÉTUDES   Ψ  INTERVENTION


Jean-Pierre VOUCHE

LES TALIBANS MAÎTRES DE L'AFGHANISTAN                                   

                                                                                                                                                  Août 2021

LES ACTIVITÉS DE JEAN-PIERRE À L'INTERNATIONAL — 1

Mission O.N.G. « Humanistes Sans Frontières » en collaboration avec le groupe « Victoria Hoi An resort. »

MISSION ONG AU VIETNAM

                                                                                                                                                 Avril 2017

Un groupe international de 21 personnes, neuf vietnamiens, quatre australiens, un suisse de l'ex-ambassade de Suisse à Hanoï, sept français dont un cameraman a utilisé neuf side-cars, car les accès routiers ne sont pas toujours viables pour des voitures.Après une évaluation des besoins par Claude BALLAND, General manager du Victoria, nous avons organisé une mission par la route Ho Chi Minh dans la région de Khe san et de Phong Na Ke Bang, à l'ouest du Vietnam, noyau culturel du pays, et la région Muong, habitée par une ethnie patriarcale, résidant dans des hameaux sur pilotis dans la jungle proche de la frontière laotienne. L'accès à ces zones est très réglementé par l'armée vietnamienne, vu la présence d'engins explosifs des anciens bombardements américains des années 70.Un programme santé et scolaire ont été les principaux axes d'intervention. Les amélioration des conditions de vie et d'habillement des enfants ont été complétées. Plusieurs villages montagnards à 1000 m d'altitude ont bénéficié de notre intervention. Des photos témoignent de cette rencontre. Nous sommes revenus par la zone démilitarisée du centre sud du Vietnam en passant par le cimetière des martyrs (de 1972 à 1975) de Truong Son ou 300 000 martyrs nord vietnamiens y reposent. La prochaine mission est prévue en mars 2018 pour poursuivre l'action.
°Un DVD sera produit dans les semaines à venir

Jean-Pierre VOUCHE, Président HSF.

Tunis - 2015-2016
classé dans CONFÈRENCES

Jean-Pierre VOUCHE prépare une série de conférences sur la violence - les barbaries (Irak, Syrie, Lybie, Tunisie, Soudan, Yémen) avec la participation d'associations des femmes tunisiennes.

PRÉPARATION DE CONFÉRENCES EN TUNISIE

                                                                                                                                                2015 - 2016

Article pour Radio Canada International par Jean-Pierre VOUCHE, Psychologue clinicien, psychothérapeute spécialisé dans le post-trauma. Directeur clinique de La Ligue Française pour la Santé Mentale (L.F.S.M) Paris. Ayant l’expérience de montage de cellules d’écoute et de suivi psychologique après des catastrophes et accidents traumatiques :
Crash Concorde d’Air France,
Accident de car de touristes français en Thaïlande,
Déraillement du métro parisien en 2000,
missions humanitaires en Afghanistan et Tadjikistan.

DÉBUT DE L'ARTICLE
L’identification des victimes après une catastrophe collective (Attentats de New – York du 11 septembre 2001) est un impératif pour l’enquête sur la catastrophe, pour les familles, en vue de débuter leur travail de deuil et pour l’état- civil, afin de rédiger les actes de décès. En effet, des règlements de successions, les versements de pension d’assurance ne peuvent intervenir qu’après déclaration du décès des victimes. L’identification des victimes pourquoi ? Les proches doivent être informés correctement  et le plus rapidement possible sur la présence ou non d’un des leurs parmi les victimes.

[lire l'article complet de 6 pages en .pdf ]

Attentats de New – York 11 septembre 2001
— L’identification des victimes  après une catastrophe collective  en vue de débuter le travail de deuil des familles Article pour Radio Canada International

L'IDENTIFICATION DES VICTIMES APRÈS UNE CATASTROPHE COLLECTIVE

                                                                                                                                        septembre 2006

VIOLENCES RELATIONNELLES ET SANTÉ, QUELS LIENS ? QUELS SOINS ?
"On ne voit guère les agresseurs, les pervers narcissiques dans nos consultations avec une demande avide de transformation. Mais on y rencontre leur compagne, et celle-ci nous en apprend beaucoup sur le fonctionnement psychique qui s’instaure de part et d’autre de cette relation très pathologique, marquée par une emprise aliénante, souvent violente, voire destructrice... "

[lire l'article complet sur sa page]

classé dans CONFÈRENCES

Colloque à Bruxelles le 9 mai 2014 pour l'Union Nationale des Mutualités Socialistes

LES APPROCHES CLINIQUES ET SOCIALES DES VIOLENCES CONJUGALES"DE L'EMPRISE À LA RÉSILIENCE"

                                                                                                                                                 9 mai 2014

PROPOSITION DE MISSION HUMANITAIRE POST-TRAUMATIQUE POUR LE PEUPLE DE GAZA AVEC LE CONCOURS DE : ASSISTANCE PSYCHOLOGIQUE D'URGENCE (APU), INTERNATIONAL PSYCHOLOGICAL ASSISTANCE (IPA), LIGUE FRANCAISE POUR LA SANTÉ MENTALE (LFSM)

A l'attention du secrétariat du ministre ministre de la Santé duGouvernement d’Afghanistan  Six axes d'intervention de notre O.N.G et partenaires :
1. Diagnostic, état des lieux des besoins du système de Santé Publique Afghan pour le développement d'interventions psychologiques post-traumatiques, psychosociales à ALGER.
2. Formation des cliniciens afghans (psychiatres, psychologues cliniciens, travailleurs sociaux), aux interventions post-traumatiques et montage de cellules d'écoute en situation de crise en milieu scolaire (médecins scolaires, psychologues scolaires, infirmiers scolaires, assistantes sociales scolaires) ou milieu hospitalier  (hôpital psychiatrique de Kaboul, dispensaires de l’ONG Gastro, autres dispensaires Afghans).
3. Interventions de soutien post-traumatiques, débriefing auprès d'équipes afghanes et internationales intervenantes en première ligne.
4. Installation d’une clinique post-traumatique (actes psychocliniques et kinésithérapiques) en province Nord (Panjshir) en collaboration avec l’hôpital local sur la demande du ministre des Affaires étrangères Dr Abdullah Abdullah (août 2001).
5. Diagnostic auprès d'enfants traumatisés en écoles, en orphelinat, en familles rescapées. (tests, diagnostic et orientation thérapeutique, animation, réseau partenarial adéquate).
6. Supervision d'équipes post-traumatiques locales.

PARIS le 1 février 2006 J-P VOUCHE

O.N.G "Psys Sans Frontières", à l'attention du ministre de la Santé du Gouvernement d’Afghanistan

PROPOSITION DE MISSION HUMANITAIRE POST-TRAUMATIQUE EN AFGHANISTAN

                                                                                                                                               février 2006

Proposition de Département Assistance Psychologique d'Urgence de la Ligue Française pour la Santé Mentale (Association reconnue d'utilité publique), International Psychological Assistance of the World Federation for Mental Health,
À l'attention du ministre de la Santé du Gouvernement du MALI
Six axes d'intervention de notre O.N.G avec nos partenaires maliens (déjà sur le terrain) :
1. Diagnostic, état des lieux des besoins du système de Santé Publique Malien pour le développement d'interventions psychologiques post-traumatiques, psychosociales sur le territoire malien.
2. Formation des cliniciens Maliens (psychiatres, psychologues cliniciens, travailleurs sociaux), aux interventions post-traumatiques et montage de cellules d'écoute en situation de crise en milieu scolaire (médecins scolaires, psychologues scolaires, infirmiers scolaires, assistantes sociales scolaires) ou milieu hospitalier (hôpital psychiatrique, dispensaires).
3. Interventions de soutien post-traumatiques, débriefing auprès d'équipes  Maliennes et internationales (Cubaine et Sud Africaine) intervenantes en première ligne.
4. Installation d’une clinique post-traumatique (actes psychocliniques et kinésithérapiques) sur la région de MOPTI en collaboration avec l’hôpital local.
5. Diagnostic auprès d'enfants traumatisés en écoles, en orphelinat, en familles en difficultés rescapées de famines (tests, diagnostic et orientation thérapeutique, animation, consultations cliniques, réseau partenarial adéquate).
6. Supervision d'équipes post-traumatiques locales.

Assistance Psychologique d'Urgence, Psychological Assistance International, O.N.G "Psys Sans Frontières"

PROPOSITION DE MISSION HUMANITAIRE POST-TRAUMATIQUE AU MALI

                                                                                                                                               février 2006

DESCRIPTIF DE LA MISSION
Logiques et démarches spécifiques d'intervention psychologique aux personnes victimes de la guerre à GAZA
■ Délimitation de notre champ d'intervention aux traumatismes psychologiques et relationnels. Mise en place de dispositifs respectant l'identité, la trajectoire, le contexte de vie des palestiniens de GAZA.
■ Les bases de cette  mission de soutien sont l'écoute, l'observation, le recueil d'informations, le rassemblement des données essentielles servant à la définition des contenus conceptuels des prochaines missions.
■ Valorisation d'une première phase d'évaluation, de mise en place d'un dispositif, tenant compte des problèmes existants liés aux intervenants ou à leur absence, des traumatismes vécus par le peuple palestinien et plus particulièrement les enfants de GAZA.
■ Le repérage des interventions existantes par nos collègues locaux palestiniens et autres ONG, et de ce qui est envisagé localement selon le rythme prévu par le gouvernement et les services sanitaires palestiniens .
■ Les instances et cadres d'enregistrement, de révélation des ressources résiduelles individuelles et collectives à partir desquelles peuvent se construire des dispositifs durables. Les ressources existantes à développer, à renforcer et leurs moyens d'épanouissement.
■ Le travail en réseau pour l'appui des ressources propres pour le traitement de leurs souffrances. La recherche des « éléments–ressources » du dispositif intégrés aux souffrances communautaires. Le diagnostic doit provenir des groupes par un travail de révélation, de reconnaissance et de validation de la contribution de chacun pour les autres.L'évaluation du risque de nos « interventions cliniques directes » comme obstacles à l'expression et au développement des ressources résiduelles. Celles-ci vont résider dans l'émergence dans le groupe des réfugiés des contributions des uns et des autres, dans le dialogue collectif et social, dans l'échange et les interactions.
■ C'est un processus émergent du groupe, dans une préoccupation pour les autres, dans le soulagement du présent et pour la préservation du futur.
■ Mise en place de structures de rencontre, d'échange, de dialogue les plus adaptés au contexte culturel palestinien, se nourrissant du contexte local développant les interactions où l'aide apportée par l'un est aussi un moyen pour l'autre de se reconstituer, de se reconstruire, de se valider et d'aller mieux.
■ Notre programme insistera sur les structures locales, sur les soutiens familiaux et associatifs de quartier, de village, de camps de réfugiés prenant une place active dans la constitution de réseaux de soutien et d'aide, de soins. Notre rôle thérapeutique étant d'interpeller, de questionner et non d'arriver avec la science infuse s'appuyant sur un savoir constitué.
■ Le clinicien est bien plus celui qui permet que les choses se disent, se fassent, s'échangent, que celui qui dit et fait.
Inscrire chacun dans une dimension sociale ou sa contribution sociale sera reconnue comme participation thérapeutique dans un contexte de confiance et croissant, sollicitant toutes les ressources institutionnelles, culturelles locales. Dans un état d'esprit du don et de l'échange, entre les affinités et l'affiliation des uns et des autres.

Mission Médicale d'Urgence du collectif des humanitaires pour la Palestine

LA MISSION POST-TRAUMA À GAZA EN JANVIER 2009
                                                                                                                                     
                                                                                                                                      25-29 janvier 2009

■ Les besoins à GAZA d'intervention psychosociale et psycho-clinique sont trop étendus pour que les ressources professionnelles locales actuellement identifiées se montrent suffisantes. Dans l'urgence des interventions le traumatisme psychique est souvent sous estimé or il existe peu de structures médicales et paramédicales axées sur la prise en charge psychologique des victimes des traumatismes de guerre, à court, moyen et long terme.
■ Le dispositif conseil et d'intervention se poursuivra sur le temps, il s'agit d'un processus thérapeutique mis en place avec contrôle et analyse de son développement reposant sur les propres ressources locales palestiniennes. Nous offrons une formation préalable aux futurs intervenants locaux, intégrée au contexte thérapeutique global.
■ La prise en charge psychologique des victimes des conflits armés à GAZA constitue un enjeu politique, économique et social important pour la population palestinienne. La prise en charge psychologique précoce et adaptée des victimes, leur blessure psychique conduisent à des troubles psychologiques immédiats ou différés, aigus ou chroniques, et dans une large mesure à des pathologies mentales psychiatriques, dont le coût pour la société civile palestinienne est considérable.
■ Le but des prises en charges individuelles et collectives en milieu scolaire, en hôpitaux, en orphelinat, auprès des familles palestiniennes est de permettre pour ces victimes que des liens commencent à se tisser entre l'image traumatique et les représentations de l'inconscient. En ce sens ce "savoir faire" rend accessible à la victime, le chemin vers une guérison qui sans cet accrochage thérapeutique précoce reste aléatoire.
■ Sans l'amorce de ce travail thérapeutique précoce ce à quoi doit répondre un débriefing psychologique, des entretiens de soutien thérapeutique bien conduits, le risque de voir se développer chez ces victimes blessées un syndrome de répétition est élevé. Souvent c'est l'apparition d'une dépression ou la déclaration d'une maladie psychosomatique, d'une décompensation, d'une dissociation psychique qui sont observées, annihilant pendant des mois ou des années les forces du sujet.
■ Les objectifs de cette mission sont de mesurer l'adaptation des dispositifs médicaux, paramédicaux post-traumatiques mis en place auprès de la population palestinienne de GAZA. Cet accompagnement psychologique, paramédical et social nécessite des compétences particulières qu'il convient d'acquérir et d'approfondir selon le degré d'avancement spécialisé des professionnels palestiniens.
■ Au-delà de l'évaluation, des formations pourraient être proposée pour l'acquisition de connaissances fondamentales, ainsi que l'analyse des pratiques et un perfectionnement à la clinique post traumatique. Nous fournirons l'accès aux connaissances des plus actuelles concernant le trauma et ses conséquences grâce à des sessions de mise en situations thérapeutiques réelles (individuelles, collectives) auprès de victimes animées par des cliniciens français et palestiniens, d'exposés théoriques. Les aspects pratiques permettront aux cliniciens palestiniens de se familiariser avec les diverses techniques thérapeutiques post traumatiques dans la gestion des traumas de guerre.
Cette mission offrira un lieu de partage et d'échange entre cliniciens de divers pays.Notre évaluation pourrait permettre à des pays ouverts à l'aide aux blessés et rescapés palestiniens de s’organiser et de mutualiser les ressources spécialisées internationales. 

[version de la proposition en langue anglaise]
[version de la proposition en langue arabe]

Suite aux demandes des équipes palestiniennes, le Quay d'Orsay confie mission à Jean-Pierre VOUCHE d'organiser et emmener le huit février à GAZA une équipe de quinze spécialistes en traitement des traumas de guerre. Des psychiatres et psychologues de Montpellier agiront de concert avec les équipes sur place, afin d'apporter aux femmes, hommes et enfants victimes des bombardements, le soutien et les soins psychologiques de circonstance. Cette mission aura pour tache annexe de former les équipes palestiniennes aux interventions post-traumatiques de guerre.

LA MISSION DU COLLLECTIF CCIPPP À GAZA

                                                                                                                                    12 - 24 février 2009

Annoncés et définis dans nos statuts, nos objectifs visent à mener des actions pour soutenir les hommes en souffrance, et les ramener à un état de paix ou de bien-être. Les hommes au sens large, puisque ce raccourci englobe hommes, femmes, enfants, familles, groupes familiaux ou tribaux, communautés, ethnies, en fait tout rassemblement humain soudé par ses origines, ses coutumes, ses idéaux.
Nos principes d'intervention s'inscrivent dans une prévention active en soutenant des projets de développement local pour des populations en difficultés sociales. Mais aussi subissant les maltraitances infligées par d'autres groupes humains ou structure étatique et/ou politique : conflits armés, déportations, génocides, discriminations, rituels anciens et cruels, coutumes asservissantes, manipulations et domination de tout ordre, physique comme intellectuelle. Subissant également les traumatismes issus des catastrophes naturelles et provoquées par les erreurs humaines : séismes terrestres et marins, changements climatiques, tempêtes et ouragans, coulées de laves et de boue, ruptures de barrages, etc. Mentionnons aussi les épidémies et atteintes massives à la santé : sida, maladies tropicales, affections virales à évolution lente ou rapide. De facon synthétique, toute privation directe ou indirecte de liberté et au droit imprescriptible à la vie et à l'auto-détermination.

Les objectifs de l'association

HUMANISTES SANS FRONTIÈRES

                                                                                                                                                          2009

Mission d'investigation dans les régions d'Agra en Inde et Jaisalmer au Radhajstan, - état des lieux, besoins, solutions à mettre en oeuvre, contacts avec les différentes structures intervenantes, et recherche de financements.

[visiter le site "Children of India"]

Jean-Pierre Vouche, membre de Médecins sans Frontières se rend en Inde pour rencontrer SOS Children of India, dans les régions d'Agra en Inde et Jaisalmer au Radhajstan.

MISSION "SOS CHILDREN OF INDIA"

                                                                                                                                               juillet 2007

DEMANDE ADRESSÉE À JEAN-PIERRE VOUCHE
Mon nom est S. D.. Je suis une agente de recherche au sein de la Commission de l'immigration et du statut de réfugié (CISR) du Canada.La CISR est un tribunal administratif indépendant chargé du processus d'asile et des appels en matière d'immigration au Canada. Pour fonctionner efficacement, la CISR doit se procurer des renseignements à jour, sûrs et publics sur les pays d'origine des demandeurs d'asile. Il incombe à la Direction des recherches de la CISR de s’acquitter de cette fonction et de rendre l’information accessible à tous les participants au processus d'asile.
Dans le cadre de ce travail, je fais présentement une recherche sur l'accessibilité de personnes souffrant de stress post-traumatique aux services psychologiques et psychiatriques au Maroc, et j'espérais que vous auriez l'amabilité et le temps de répondre également à quelques questions de ma part, ou de me diriger vers d'autres sources possibles de renseignements.
Plus précisément, je cherche des réponses aux questions suivantes:
> Avez-vous de l'information générale portant sur l'ampleur du stress post-traumatique au Maroc?
> Quelle population est la plus touchée par ce stress?
> Le Royaume du Maroc offre-t-il des soins de santé psychologiques et psychiatriques aux personnes souffrant de stress post-traumatiques?
Si oui,
1. Quels types de soins sont-ils offerts?
2. Ces soins sont-ils offerts sur l'ensemble du territoire du Royaume (si non, dans quelles villes le sont-ils)?
3. Est-ce que ces soins sont accessibles à l'ensemble de la population (si non, qui a accès à ces services) ?
4. Quelle est la marche à suivre pour avoir accès à ces soins ?
En raison de contraintes de temps, toutes réponses à ces questions ou suggestions d'autres sources de renseignements que vous pourriez me transmettre avant le 2 septembre 2013 serait grandement appréciée. Si vous préférez, je peux également vous téléphoner à un moment qui vous convient.Veuillez noter que tous les documents produits par la Direction des recherches peuvent être utilisés à titre de preuve documentaire au cours d’audiences sur des demandes d'asile au Canada et sont accessibles au public sur le site Internet de la CISR à l'adresse www.irb-cisr.gc.ca.
En règle générale, la Direction des recherches ne mentionne pas le nom des sources dans ses réponses aux demandes d’information ponctuelles qui lui sont adressées. Toutefois, elle y indique le titre officiel des sources et le nom de l’organisation qu’elles représentent. Si, dans la salle d'audience, le commissaire de la CISR chargé du cas demande à la Direction des recherches de divulguer le nom de ses sources, la Direction des recherches sera obligée de le faire. Toutefois, comme le public ne peut pas assister aux audiences, seuls les participants peuvent prendre connaissance des éléments de preuve, et notamment du nom des sources.Il convient cependant de signaler que si on fait appel d'une décision de la CISR devant la Cour fédérale du Canada, toutes les preuves qui lui seront présentées concernant la cause seront rendues publiques.
En vous remerciant à l’avance de votre collaboration à cet égard, je vous prie d'agréer mes salutations distinguées."

Mme S. D. , agent de recherche au CISR (Commission de l'Immigration et du statut de réfugié du Canada) sollicite Jean-Pierre Vouche

COLLABORATION AVEC LE CISR AU CANADA

                                                                                                                                                  Août 2013


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EN QUALITÉ DE PRÉSIDENT DE L'ONG "HUMANISTES SANS FRONTIÈRES", JEAN-PIERRE VOUCHE EST SOLLICITÉ POUR REJOINDRE LA RÉSISTANCE DES PANJSHIRIS AUX TALIBANS.

(lire l'article dans les actualités 2021)

© JEAN-PIERRE VOUCHE 2006 - 2022

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PROGRAMME DE L'INTERVENTION
Nous proposons deux formations pour BICE – DEUTSCH LAND 2004
A.
"Aide à la gestion des traumatimes"
Pour les centres d'orientation et de transit accueillant des enfants soldats démobilisés en R.D.C (Délégation Afrique du BICE), d' une durée d'une semaine...
Les thématiques pouvant être abordéesdans le cadre de cette formation :
1. Le traumatisme chez les victimes d'évènements graves, d'accidents,...
2. Le devenir du traumatisme
3. Les techniques d'accompagnement psychologiques
4. La mise en place de cellules de crise ou de programmes post-traumatiques
B.
1. "Animation de groupe de parole d'adolescentes ou de femmes victimes en R.D.C", d'une durée d'une semaine...2. "Animation de groupe de parole d'adolescentes ou de femmes victimes en R.D.Congo" ...

[lire le programme de l'intervention en .pdf]

FORMATIONS POUR BICE* - DEUTSCHLAND — CONGO

                                                                                                                                             mai-juin 2004

Projet de réhabilitation et de réinsertion des enfants soldats démobilisés et/ou victimes des conflits armés en République démocratique du CONGO*Bureau International Catholique de l'Enfance